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    Base logistique d’El Qaîda à El Oued

    valiant
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    Arif
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    Message  valiant Sam 30 Juin 2007 - 3:02

    watan Edition du 24 juin 2007 > Actualite

    Base logistique d’El Qaîda à El Oued
    Les terroristes seront bientôt jugés à Biskra
    Le dossier des 22 personnes impliquées dans l’affaire concernant la découverte, au mois de mars dernier, d’une importante casemate à Magrane, dans la wilaya d’EI Oued, sera transféré à la cour de Biskra suite à la cIôture de l’enquête menée par le juge d’instruction près le tribunal de Debila, apprend-on de sources bien informées.

    L’affaire remonte au 29 mars 2007 quand des éléments de la Gendarmerie nationale d’El Oued ont découvert une véritable base logistique du GSPC dans une palmeraie sise dans la localité de Daouia, à 5 km au nord de Magrane, à 25 km d’El Oued. Les éléments de la gendarmerie ont trouvé dans la casemate qui a été détruite par la suite des dizaines de kilogrammes d’explosifs et un nombre de kalachnikovs, de pistolets, de fusils de chasse, ainsi que des équipements informatiques (des micros et des scanners), en plus de listes de noms de commerçants et d’entrepreneurs ciblés par les terroristes. La gendarmerie a procédé à l’issue de cette découverte au démantèlement d’un réseau de soutien aux terroristes et à l’arrestation de dix personnes dont deux fils de deux gardes communaux qui ont été par la suite limogés de leurs fonctions. Les services de sécurité ont poursuivi leur enquête qui a abouti à l’arrestation de douze autres éléments du réseau démantelé, y compris Messaoudi Reda. Ce dernier, âgé de 31 ans et propriétaire de la palmeraie sus-indiquée, est bel et bien le cousin du terroriste Messaoudi Mohamed El Hafed, âgé de 45 ans et toujours recherché par les services sécuritaires. Il est derrière l’assassinat de l’émir repenti Kaddouri Abdelkrim, tué le 9 mars 2006 près de son domicile sis à la cité 8 Mai, dans la ville d’EI Oued. Le terroriste précité serait également derrière l’enlèvement du fils du milliardaire soufi qui a été relâché dernièrement. Les vingt-deux personnes arrêtées dans cette affaire ont été présentées devant le juge d’instruction près le tribunal de Debila. Neuf personnes ont été mises en détention provisoire pour affiliation à une association terroriste, sept éléments ont été mis sous contrôle judiciaire, alors que les autres ont bénéficié de la liberté provisoire. Des sources ont révélé que le cousin du terroriste Mohamed El Hafed est revenu sur ses déclarations faites devant la gendarmerie, pour les nier par la suite devant le juge d’instruction, selon lesquelles il avait accusé les mis sous contrôle judiciaire d’être complices dans cette affaire.

    T. Karim
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    Message  valiant Dim 1 Juil 2007 - 20:51

    l'esxpression 28 juin 07

    AVEUX D’UN REPENTI
    Dans l’enfer des maquis du Gspc
    28 Juin 2007 - Page : 6
    Lu 599 fois

    La nourriture, les médicaments et l’eau se font très rares. L’état de santé des femmes et des enfants est des plus critiques.

    La reddition d’un élément du Gspc dans la wilaya de Annaba, va certainement rendre la tâche plus facile aux services de sécurité qui mènent actuellement une importante opération de ratissage dans les massifs montagneux de l’Edough. Agé de 32 ans, ce repenti a déjà fourni de précieux renseignements aux forces de l’Armée nationale populaire, faisant état de la présence d’une vingtaine de terroristes terrés dans les caches de la dense forêt de l’Edough et accompagnés de leurs femmes et enfants.
    Selon le repenti, ce groupe qui active au profit d’Al Qaîda au Maghreb islamique, a pris refuge au niveau des maquis de Annaba pour tenter d’échapper aux mailles du dispositif sécuritaire mis en place depuis plusieurs semaines sur les hauteurs des maquis partagés entre les wilayas de Jijel et Skikda.
    Le repenti, ont confié des sources bien informées, était dans un état de santé très critique. Après avoir reçu des soins, il est passé aux aveux. Il a déclaré avoir réussi à prendre la fuite. Il aurait été, selon ses affirmations, une cible d’une éventuelle liquidation, car son projet de se livrer aux services de sécurité aurait été dévoilé par le chef du groupe. Le repenti raconte l’enfer des maquis. La nourriture, les médicaments et l’eau se font très rares. L’état de santé des femmes et des enfants est des plus critiques. Avec les grandes chaleurs, la situation n’a fait qu’empirer. D’autres informations ont été confiées aux services de sécurité chargés de la lutte antiterroriste, mais rien ne sera révélé avant leur exploitation. Par ailleurs, les forces de l’ANP confient que l’opération de ratissage va durer encore deux mois, vu son importance. De lourds moyens ont été mobilisés pour agir en conséquence.
    L’ampleur gigantesque de ces opérations de ratissage déclenchées à travers le territoire national, renseigne sur la détermination des services de l’ANP à anéantir, les groupes armés. Sachant que des informations font état d’un recrutement massif d’adolescents âgés d’à peine 17 ans, au niveau de la zone II, englobant les wilayas de Boumerdès, Bouira et Tizi ouzou. La mission de recrutement a été confiée à un certain A. Rabah, âgé de 32 ans, natif de Lakhdaria, wilaya de Bouira. Ce terroriste, aurait, selon des informations obtenues d’une source généralement bien informée, servi au sein d’Al Qaîda en Irak. Dès son retour en Algérie, il a rejoint la katibet El Farouk terrée dans les maquis de Bouira. Cette phalange est dirigée par un certain Ahmed Dakouir. Après un véritable lavage de cerveau, les nouvelles recrues, seraient préparées pour mener des attaques kamikazes qui cibleront particulièrement la capitale et ses environs. Ces recrues seraient, également, formées pour la fabrication des bombes artisanales des explosifs et à la guérilla urbaine. Très attentifs, ils sont sur le qui-vive. Depuis deux mois déjà, les services de sécurité à Boumerdès, ont démantelé un réseau d’écoliers.
    C’est dire à quel point les groupes terroristes sont déterminés à aller dans leur stratégie criminelle. En 2002, le Gspc avait déjà adopté cette approche, celle d’enrôler des enfants à l’est du pays. Cela s’est produit du côté du Nord-constantinois. La proie est plus facile à manipuler. Dans son numéro d’hier, un organe de presse en langue arabe rapporte qu’un recruteur a été arrêté par les services de sécurité; celui-là était chargé d’acheminer des recrues tunisiennes via la Libye vers les maquis de Boumerdès. Répondant aux initiales M.Z., cet individu serait même impliqué dans un recrutement d’Algériens pour le compte de la Somalie.

    Ikram GHIOUA
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    Message  valiant Dim 1 Juil 2007 - 20:53

    l'expression

    TORTURE, ARRESTATIONS ET DÉTENTIONS SANS JUGEMENT
    Des Algériens dans le «Guantanamo» mauritanien
    28 Juin 2007 - Page : 6
    Lu 237 fois


    Hier encore, les autorités mauritaniennes ont confirmé l’arrestation de deux autres Algériens «accusés de relations avec Al Qaîda». A combien est estimé leur nombre? On ne le sait pas.

    Une offensive contre le risque terroriste ou une «allergie» fraîchement découverte aux ressortissants algériens? Les arrestations en série d’Algériens en Mauritanie fournissent bel et bien matière à réflexion. Hier encore, les autorités mauritaniennes ont confirmé l’arrestation de deux autres Algériens «accusés de relations avec le terrorisme». L’offensive des services de sécurité mauritaniens n’est pas une promenade de santé. Effet direct, au nom de la logique terroriste: les Algériens sont dans la ligne de mire. Ils sont victimes de l’image d’un pays «malmené» par le terrorisme, vendue -jusqu’ici encore- à l’étranger. La nouvelle donne d’une soi-disant «Al Qaîda Maghreb» vient noircir davantage le tableau. Ainsi, depuis l’attaque terroriste du 4 juin 2005 qui a ciblé la base militaire de Lemgheity (à proximité des frontières entre les deux pays), les Algériens de Mauritanie n’ont pas connu des jours meilleurs. Depuis, séquestrations, tortures, interpellations et mauvais traitements, font encore le quotidien des Algériens installés en Mauritanie. Farouk Ksentini qui connaît bien le dossier des Algériens détenus à Nouakchott, pense que la Mauritanie est «excitée, comme plusieurs autres pays, par la question de la lutte antiterroriste». Le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme (Cncppdh), a été déjà saisi par la famille d’un Algérien détenu depuis début mai 2005. Bien avant l’attaque du Gspc (Groupe salafiste pour la prédication et le combat). Contacté, hier, par L’Expression, Farouk Ksentini a déclaré que «tout le monde est excité par cette lutte contre le terrorisme, mais souvent plusieurs pays se trompent de cible».
    Il parle en connaissance de cause, le président du mécanisme ad hoc des disparus fera savoir que tout dépassement au nom de la logique terroriste est inadmissible. Farouk Ksentini a déjà interpellé le ministère des Affaires étrangères pour faire la lumière sur les Algériens détenus, maltraités et torturés en Mauritanie.
    A la fin de la même année, citée en référence, soit décembre 2005, un autre Algérien a été découvert enterré, après avoir été assassiné dans des conditions floues. Quoi qu’il en soit, l’Etat est appelé à protéger ses ressortissants et demander leur extradition. Car, tout terroriste présumé est considéré innocent avant son jugement. L’attaque de Lemgheity, qui avait fait 15 mort et 17 blessés, a déclenché une vague d’arrestations par les services de sécurité mauritaniens dans les milieux des étrangers. Deux autres détenus algériens croupissent dans les geôles mauritaniennes depuis l’été 2005. Ces derniers ont dû appeler les autorités algériennes à intervenir pour accélérer leur jugement. Autrement, respecter la décision prise par le juge d’instruction, mi-2005, lequel avait accordé la liberté provisoire aux deux suspects. L’un d’eux, en l’occurrence Aïssa Smaïl Abdellah, a été acquitté récemment, après deux ans de détention arbitraire, à en croire certaines sources.
    Tergiversations, détention sans jugement et tortures sont les ingrédients usités par les services de sécurité mauritaniens. Les deux détenus algériens, Aissa Ismail Abdellah et Abdelmadjid Benmoussa sont accusés de collaboration avec des groupes terroristes.
    L’arrestation de deux ressortissants algériens est intervenue au moment où 11 autres individus sont présentés à la justice mauritanienne. Ils sont accusés d’activité terroriste et de lien avec le Gspc. Certains d’entre eux auraient fait partie de ceux ayant attaqué en juin 2005, la base militaire de Lemgheity. L’actuel procès à Nouakchott des conjurés de Lemgheity, risque, selon certaines sources, de «mal tourner». Car les avocats des détenus inculpés rejettent les chefs d’inculpation et brandissent le fait que les «aveux» ont été obtenus sous la torture. Farouk Ksentini, joint par téléphone, a indiqué que l’Etat algérien «n’a pas l’habitude d’abandonner ses ressortissants, surtout lorsque ces derniers sont en difficulté». Faudrait-il donc s’attendre à une réplique algérienne à cette série d’arrestations et de détentions? A cette question, notre interlocuteur se contente de dire qu’«en principe, les autorités algériennes sont tenues de protéger et de défendre les justiciables, quels que soient les motifs pour lesquels ils sont détenus».
    Ainsi, cette nouvelle vague d’arrestations porte à plus de 320 le nombre d’Algériens détenus à travers le monde à la fin de l’année 2006.
    Soupçonnés de liens avec le Gspc et Al Qaîda, ces Algériens croupissent dans les prisons de Guantanamo, de Londres, Rome, Nouakchott, Kaboul, Rabat, Libye et dans d’autres prisons tenues secrètes par les Américains.

    Ali TITOUCHE
    valiant
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    Message  valiant Dim 1 Juil 2007 - 20:54

    l'expression

    LES DEUX CHEFS TERRORISTES SE LIVRENT UNE GUERRE SANS MERCI
    Ben Mokhtar, Droukdel et l’enjeu de la «zone 9»
    01 Juillet 2007 - Page : 6
    Lu 1501 fois


    En plus des hydrocarbures dont les installations sont sécurisées, il y a l’agriculture et l’hôtellerie sahariennes qui sont appelées à connaître un essor remarquable, à condition que la paix et la sécurité règnent.

    Là où il va, il suscite l’intérêt des journalistes. Que ce soit à Constantine, à Annaba ou récemment à Sétif, Yazid Zerhouni, le ministre de l’Intérieur, a été, sans conteste, la personnalité la plus en vue après le chef de l’Etat. Situation sécuritaire oblige! Et puis il y a tous les autres dossiers où son département est impliqué, tels que le projet d’amendement de la loi électorale ou les nouveaux codes communal et de wilaya.
    A Sétif, il a été interpellé au sujet des bruits qui se font de plus en plus insistants sur une éventuelle reddition de Ben Mokhtar, mais, il n’a rien laissé filtrer. «Nous allons être plus vigilants», a-t-il dit lorsqu’on lui a demandé son avis sur un appel de Abdelmalek Droukdel, demandant à ses hommes d’investir la zone 9 (Grand Sud) afin d’y commettre des attentats.
    Une attitude marquée de prudence que celle adoptée par le ministre de l’Intérieur à propos d’une question de première importance, Yazid Zerhouni a, de tout temps, été en mesure d’éviter les «fausses pistes» ou les «engrenages» de journalistes, et ce n’est certainement pas avec le sujet d’Al Qaîda au Maghreb islamique qu’il va sortir de sa réserve. Cette organisation qui, jusqu’à présent, a rejeté toute offre de paix avait menacé par le biais de son émir Droukdel d’entraver les négociations qui seraient menées entre les autorités militaires et Ben Mokhtar. Ce dernier est accusé, selon des sources très au fait du dossier terroriste, par ses acolytes d’avoir détourné d’importantes sommes d’argent destinées à l’achat d’armes.
    Plus que quiconque, il sait pertinemment que les questions de la «ghanima» (butin) se sont toujours soldées par de sanglantes batailles rangées où les morts se comptent par dizaines. C’est peut-être ce qui explique son acharnement à vouloir conditionner sa reddition contre l’obtention d’un passeport afin qu’il s’installe, de façon légale, à l’étranger. Des spécialistes et observateurs bien au fait de l’actualité sécuritaire, considèrent que Droukdel n’a ni l’autorité nécessaire ni les moyens humains et matériels pour élargir son action terroriste dans la région sud du pays. Ils estiment au contraire, que si ce n’est pas Ben Mokhtar lui-même, personne ne le fera.
    Alors tous les regards sont actuellement braqués vers le nord du Mali. A chaque fois qu’il est interpellé sur une question sécuritaire, Yazid Zerhouni se montre rassurant en rappelant que les portes sont ouvertes pour ceux qui veulent déposer les armes. Ben Mokhtar fait bien partie de cette catégorie à laquelle le message est adressé. Depuis quelque temps, la région sud suscite le grand intérêt de nombreux investisseurs étrangers, notamment émiratis, koweïtiens et coréens. En plus des hydrocarbures dont les installations sont sécurisées, il y a l’agriculture et l’hôtellerie sahariennes qui sont appelées à connaître un essor remarquable, à condition que la paix et la sécurité règnent.
    Les sponsors du terrorisme en sont conscients. C’est pourquoi, ils s’agitent afin de créer un climat propice à l’intox.
    Leur objectif étant de faire fuir les potentiels investisseurs étrangers. C’est un défi pour l’Etat algérien, d’autant plus que les parrains du trabendo qui contrôlent les trafics en tous genres dans les wilayas d’El Oued, Béchar, Ghardaïa et Tamanrasset ont depuis longtemps, été infiltrés par des éléments proches du Gspc.
    On est également conscient que la reddition de Ben Mokhtar priverait ces réseaux d’un appui certain. Va-t-on encore les manipuler pour pousser à «envenimer» l’atmosphère et obliger l’émir, natif de Ghardaïa, à faire le choix des armes? Aussi minime soit-elle, cette probabilité existe néanmoins et les services de sécurité chargés du renseignement sont en train d’étudier toutes les probabilités, ont confié des sources sécuritaires.
    Cependant, pour parer aux tentatives de récupération des chômeurs sans espoir qui peuplent les quartiers pauvres de B’ni Ouskout à Adrar, Hassi El Gara, à El Menéa, Gataâ El Oued, à Tamanrasset ou Debdaba, à Béchar, les pouvoirs publics sont appelés à s’impliquer davantage dans l’effort de développement des régions sud et faciliter l’installation des investisseurs étrangers. Il faut se rappeler les «révoltes» de jeunes à Adrar, El Ménéa ou à Ouargla, qui n’avaient pas accepté les pistons et les passe-droits utilisés dans le recrutement au profit de certaines compagnies pétrolières. L’erreur serait fatale si on ne saura pas les écouter.

    Ikram GHIOUA

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