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    Université algérienne : la toile d'araignée

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    Université algérienne : la toile d'araignée Empty Université algérienne : la toile d'araignée

    Message  Tolkien Lun 18 Juin 2007 - 23:28

    Université algérienne : la toile d'araignée
    par Aïssa Hireche de QUOTIDIEN D'ORAN

    Parlant des enseignants issus de l'Université algérienne d'antan, la belle, la vraie, quelqu'un avait dit: « c'est une espèce en voie d'extinction ».
    En fait, beaucoup d'entre eux ont tiré leur révérence. Pour le reste, il en est - et ils sont nombreux - qui sont partis ailleurs. Une manière de mourir en quelque sorte. Parmi les autres, ceux qui continuent, tant bien que mal, à pousser comme ils peuvent ce corps inerte qu'est l'université aujourd'hui, il y a ceux qui ont déjà commencé à s'inscrire au registre des retraités et ceux qui, ne se sentant plus utiles dans une ère soulignée à l'encre de la médiocrité, se retirent tout simplement, une autre manière de s'éteindre. La relève ? Chacun a laissé ce qu'il a pu mais ils sont pratiquement tous ailleurs. Le petit nombre qui a préféré rester est dilué, totalement dilué dans l'océan de l'incompétence qui a commencé à déferler sur l'université depuis que l'ignorance s'est mise à éteindre la lumière de la science dans ce pays qui est le nôtre.



    QU'EN EST-IL DE NOTRE UNIVERSITE ?



    L'absence de maîtrise des concepts et la perte de la vue d'ensemble sont les deux failles principales qui caractérisent l'Université algérienne aujourd'hui; une université où, à force d'avoir banalisé les choses, on ne différencie plus le débat scientifique de la discussion de cafés du coin et où l'argumentaire, qui ne diffère d'ailleurs en rien des simples positions de principes, ne vise plus à convaincre mais seulement à brouiller et à... vaincre !

    Le mal est ancien. Il a commencé lors des années quatre-vingt, lorsque la démagogie des décideurs les avait conduits à instaurer les élections pour les postes de responsabilité. Ces élections, et à l'image de toutes les autres se déroulant dans notre pays, avaient alors conduit à l'émergence du tribalisme, du « douarisme », du « archisme » et du clanisme à l'intérieur de ce qui fut réellement un haut lieu du savoir. La loi du nombre ayant prévalu, les plus nombreux imposaient leurs choix au détriment des compétences et des aptitudes. Une opération biaisée, comme disent les statisticiens.

    Durant ces années quatre-vingt, l'incapacité propulsée à la tête de la majorité des instituts et des facultés avait annoncé le début d'une gestion catastrophique de l'Université algérienne. Une gestion sans implication et où l'informel allait prendre le pas sur le formel et l'officiel, étendant ainsi les possibilités d'intervention aux membres des clans, même lorsqu'ils ne faisaient pas partie de l'université elle-même. Une sorte de vision du dehors, comme diraient les littéraires.
    Et c'est durant ces années aussi que notre université allait connaître le comble de son malheur. La loi du nombre s'étant révélée payante pour les adeptes de l'à-peu-près et les apôtres du n'importe quoi, elle fut appliquée aux décisions scientifiques. Contre le bon sens et la pudeur, on votait alors la science dans les conseils scientifiques ! Et à main levée, en plus. Sans aucune gêne !

    Inconscients des futures implications de cette démarche, et ne pouvant discerner entre l'effet de foule et la décision scientifique, les pouvoirs publics se frottaient les mains, tout contents d'avoir introduit ce qu'ils appelaient « la démocratie » à l'université alors que, cependant, des thèses inadmissibles et indéfendables obtenaient, grâce au vote, l'aval des conseils scientifiques pour être soutenues, et la médiocrité gagnait ainsi, grâce au vote, le droit de s'introduire et de s'installer longuement, définitivement, dans les amphithéâtres et les salles de cours.

    Le nivellement par le bas était alors devenu la pratique courante et le « pourquoi pas moi » émergeait comme valeur nouvelle dans une université étourdie qui étonnait son monde et ne finissait pas d'en être déconcertée.
    La médiocrité se reproduisant toujours à une échelle plus grande, on devine ce qui arriva. Les connaissances transmises étant parfois douteuses, l'évaluation des étudiants perdit de son sérieux et la motivation de ces derniers tombait tout simplement et le plus naturellement du monde.
    Les concours n'étaient généralement pas honnêtes et les notes comportaient autant d'injustices que d'inconscience de la part de ceux qui, à travers la banalisation de la fonction de l'enseignant universitaire, se faufilaient doucement mais sûrement. L'université perdait ses idéaux et ses valeurs et aussi bien les étudiants que les enseignants y perdaient leurs repères.

    Aujourd'hui, et après avoir continué sur cette triste lancée, on en est à ne plus pouvoir rejoindre une salle de cours sans entendre les vulgarités les plus exécrables et à ne plus pouvoir rejoindre un amphi sans remarquer des comportements des plus détestables. L'enseignant n'a plus de statut dans son université, il ne diffère en rien du gardien, du vaguemestre, du veilleur de nuit ou du plombier ! L'étudiant qui quémande les notes demande à intégrer les conseils scientifiques. En tout cas, ceux qui avaient « tissé la toile d'araignée » l'avaient bien fait. Nous sommes tous pris au piège de la médiocrité et de l'insensé et il n'est plus possible, pour ceux qui le veulent encore, de tenter quelque chose.

    C'est aussi dans ces mêmes années quatre-vingt que l'enseignant s'était transformé en une machine à faire des contrôles et à effectuer des surveillances. Des partiels, un contrôle final, un contrôle de synthèse et autant de rattrapages que nécessaires.
    On s'évertuait alors à faciliter au maximum la « réussite » des étudiants en ne leur comptant que les notes qui les arrangeaient, oubliant que, en faisant cela, on les condamnait à être incapables de faire face à la vie active. Mais peu importait, les conseils scientifiques votaient bien, le nombre de sortants gonflait les chiffres officiels et la fierté du système avec ! Preuve que l'université fonctionnait selon les décideurs. Aujourd'hui, vingt ans après le début du massacre, le bilan est terrible. Le diplôme universitaire ne vaut rien ou presque. Le statut d'enseignant universitaire ne signifie rien ou presque. Nos étudiants ne comprennent rien ou presque. Nos enseignants ne transmettent rien ou presque.

    Déjà, à leur sortie des lycées, victimes d'une série de réformes mal pensées et peu prises au sérieux par leurs concepteurs mêmes, les étudiants n'ont pratiquement aucune formation. Jetés dans une université où plus personne ne sait ce qu'il a à y faire, ils sont encore victimes d'un système dont la confusion et la platitude se révèlent être les caractéristiques principales. Mais peu importe. Les flux se poussent les uns les autres, tout le monde réussit dans cette université qui ne peut plus rien donner.
    Il n'est donc point étonnant aujourd'hui de voir la formation dispensée par notre université dénuée de ces concepts qui font la science, de cette analyse qui imprègne la rigueur scientifique et, surtout, de cette vue d'ensemble qui assoit les connaissances et les solidifie. Ah la Gestalt !



    QUE FAIRE ?



    A ce rythme, notre université ne servira qu'à donner des bribes d'une culture générale dénuée de toute rigueur scientifique. Les enseignants croulent sous le poids du nombre, les étudiants sous celui de programmes conçus à la va-vite et personne, dans ce monde désarticulé, ne sait plus ce qu'il fait ou, encore moins, ce qu'il y a lieu de faire.
    Ceux qui ont encore l'illusion de servir à quelque chose ne cessent d'être déçus; les autres, c'est-à-dire ceux qui ont compris qu'ils ne sont plus utiles à rien, ceux-là ont préféré se retirer pour... s'éteindre doucement.
    Notre université restera ainsi et elle ne cessera de se détériorer, s'il y a encore possibilité de détérioration. A moins qu'elle subisse, dans les meilleurs délais, une véritable réforme qui visera, non pas ces soi-disant pôles d'excellence avec lesquels on essaie encore de mener les gens en barque, mais une véritable prise en charge qui consistera en son ouverture à la concurrence et à la compétitivité.
    Ne nous trompons pas. Bien avant et bien plus que les entreprises économiques, l'Université est aujourd'hui concernée par la compétitivité dans un environnement aux mutations si rapides et si profondes qu'elle a totalement ignorées depuis un quart de siècle et qui a fini par l'ignorer à son tour, la laissant là, incertaine et inquiète, perdue et sans forces.

    Pour améliorer le niveau de notre football, nous ramenons des entraîneurs et des joueurs étrangers pour nos équipes alors que, comble de l'insanité, nous refusons de ramener des enseignants d'ailleurs au nom d'une algérianisation qui n'a mené qu'à l'étouffement des capacités de nos enseignants et de nos étudiants. Et dire que partout dans le monde, des Etats-Unis au Bénin, du Canada à la Mauritanie, les compétences qui ont cessé d'être fichées par nationalité sont courtisées et tout est mis en oeuvre pour les séduire. Il ne sert à rien d'applaudir aux infrastructures car le contenant ne signifie rien (ou presque) lorsqu'il n'est accompagné du contenu, car il ne s'agit pas d'avoir des bâtiments mais une université.
    La privatisation de l'université, parce qu'elle introduira l'esprit de compétitivité et bannira les « voyageurs clandestins », apparaît comme une éventuelle solution, à condition qu'elle ne signifie pas la cession de l'université aux marchands de légumes et aux importateurs de fripe. Le partenariat apparaît, lui aussi, comme autre solution à condition que cela ne se fasse pas dans le cadre d'approches restreintes, sentimentales ou d'humeurs.
    Que l'on opte pour l'une ou l'autre, voire pour d'autres solutions, une réflexion sérieuse est devenue plus que nécessaire pour sauver ce qui peut encore l'être car il est bien fini le temps de la démagogie qui ne nous a menés nulle part et qui ne nous mènera nulle part. Il est bien fini aussi le temps où l'Université peut dormir sur ses oreilles, les poings fermés, et laisser s'écouler les années et les décades. Le temps de slogans est dépassé, il est temps de suer !

    Lundi 18 juin 2007
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    Message  valiant Mer 20 Juin 2007 - 3:20

    salut pelerin gris

    l'université algerienne est une usine à produire du chômeur et des batata frittes de luxe

    tu comprends ce que je veux dire clown
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    Message  yakuza Jeu 21 Juin 2007 - 16:07

    ce qui m´a choqué le plus c´est qu´un universitaire marocain puisse toucher plus que l´algerien Shocked
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    Message  ZAPBOX Jeu 21 Juin 2007 - 16:18

    c'est parceque trouvé un universitaire au maroc releve du miracle il y a que regarde les gens qui passe le bac au maroc vous etes 300 000 en 2007 contre en algerie algerie il y a eu 800 000 personne qua passé le bac en 2007

    c'ets comme le petrole offre et la demande ....
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    Message  yakuza Jeu 21 Juin 2007 - 16:23

    tu crois vraiment a ce que tu dit la Shocked Question
    y´a plus d´universitaires et chercheurs qu´au maroc?
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    Message  ZAPBOX Jeu 21 Juin 2007 - 16:27

    regarde sur google le nombre de personne qui le passe le bac au maroc et en algerie

    regarde le nombre d'université au maroc et en algerie

    regarde le taux de reussit du bac au maroc et en algerie

    www.google.fr

    c'ets pas moi qui le di
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    Message  yakuza Jeu 21 Juin 2007 - 16:34

    c´est pas le bac qui casse ce que j´ai dit,l´incitation au maroc a la recherche est plus grosse,t´as qu´a voir la matiere grise qui s´echappe de l´algerie,et tu comprendra...



    L’Algérie derrière le Maroc dans la recherche scientifique

    Le Maroc enregistre 10 fois plus de productions scientifiques que l’Algérie qui ne disposerait que de mille chercheurs dans ses centres de recherches.

    mardi 17 avril 2007.

    Tel est le constat établi hier par les participants à la conférence des compétences algériennes à l’étranger, organisée, à Alger, par la Fondation nationale pour la promotion de la recherche scientifique dans le domaine de la santé (Forem) et l’Organisation scientifique d’Ibn Badis (IB Scientific). Une trentaine de chercheurs et de chefs d’entreprise algériens résidant à l’étranger se sont, en fait, réunis pour examiner les mécanismes à mettre en oeuvre en Algérie en vue de favoriser l’émergence d’une interface mutuelle (entreprises privées et publiques et les institutions de l’Etat).

    Plusieurs raisons ont été relevées qui font que la recherche scientifique n’avance pas en Algérie contrairement au Maroc. « Nous avons l’impression d’être sous-valorisé », argumentera Abdelhak Makki, membre de la Forem, en ajoutant que les efforts des chercheurs sont réduits à des initiatives personnelles plutôt qu’au développement de la recherche. Selon lui, les pouvoirs publics n’encouragent pas les universitaires à faire de la recherche. Pour lui, il y a une incohérence entre le discours scientifique et la situation socioéconomique. Les intervenants ont relevé, notamment, que la fuite des cerveaux en Algérie s’est accentuée entre 1987 et 2001. Ils seraient plus de 40.000 cadres a avoir fui le pays. Le président de la Forem, M.Mostefa Khiati, avance, pour sa part, le chiffre de 1000 chercheurs en Algérie.

    Selon M.Makki, le nombre de publications scientifiques a atteint seulement 260 en 2001 alors qu’en Tunisie il était de 400. En revanche, la production journalière d’articles scientifiques est de 8000 dans le monde. La rencontre sur les compétences algériennes à l’étranger permettra, selon M.Khiati « d’humaniser les rapports entre nos chercheurs et les institutions publiques » car, selon lui, « la bureaucratie a de tout temps joué le rôle de blocage entre les deux parties ». De son côté, l’ambassadeur du Canada en Algérie, M.Robert Peck, a indiqué que la diaspora algérienne peut jouer un rôle important et contribuer davantage dans le développement de son pays, le Canada. Pour lui, il existe une très grande volonté chez cette diaspora, d’accompagner l’Algérie dans son développement, estimant que la communauté algérienne, notamment celle résidant au Canada, est une (véritable) passerelle entre les deux pays. « Il faut une approche pratique et pragmatique pour sortir avec des recommandations pratiques », a-t-il ajouté.
    http://www.algerie-dz.com/article9273.html

    c´est pas qui le dit,c´est vous Very Happy
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    Message  ZAPBOX Jeu 21 Juin 2007 - 16:35

    lchouma Embarassed apres tu vien ici fair des cour de bonne education a l'algerie

    http://www.wabayn.com/maroc/210607-maroc-quelque-83.131-candidats-officiels-ont-r-ussi-les-examens-du-baccala.html

    Maroc Quelque 83.131 candidats officiels ont réussi les examens du baccalauréat Embarassed


    «C'est décevant !» nous ont déclaré des enseignants à la ville de Rabat. Sur un nombre total de 205.998 candidats, ce sont 78.277 qui ont réussi les épreuves du baccalauréat, soit un pourcentage de 38%, indique un communiqué du département de Habib El Malki rendu public mardi soir. Embarassed Embarassed
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    Message  ZAPBOX Jeu 21 Juin 2007 - 16:40

    ALGER, 9 juin (XINHUA) -- Les épreuves de l'examen du baccalauréat (session 2007) ont débuté samedi en Algérie, qui se poursuivront jusqu'à mercredi prochain.

    Quelque 700 000 candidats se sont inscrits pour les épreuves de cette année, soit une hausse de 25,06% par rapport à l'année dernière, selon les statistiques du ministère algérien de l'Education nationale.

    Parmi les candidats, les filles sont plus nombreuses avec 58,01% , contre 41,99% de la part des garçons. 585 candidats étrangers et 188 handicapés prendront également part aux épreuves de cette année.

    A propos de la répartition par filières, les scientifiques viennent en tête avec 380 447 candidats, suivis par les littéraires avec 319 248 candidats. Cool

    2 070 centres d'examen, encadrés par environ 110 000 surveillants, se sont installés pour accueillir les candidats cette année.


    garde tes salade pour toi on a 2 fois plus de jeune qui passe le bac scietifiqu en algerie que le total du maroc Embarassed Embarassed Embarassed Embarassed Embarassed
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    Message  yakuza Jeu 21 Juin 2007 - 16:50

    encore une fois,le bac ou le taux ne dit rien sur l´etat scientifique/universitaire
    quand tu lit dans l´article en haut que..
    Le Maroc enregistre 10 fois plus de productions scientifiques que l’Algérie qui ne disposerait que de mille chercheurs dans ses centres de recherches.
    comment tu explique cela quand y´a plus de bacheliers algeriens que marocains qui reussissent.
    c´est pas que je fait salade couscous ici,c´est juste,et c´etait ma 1ere remarque en haut,comment un pays machallah a revenues riches comme l´algerie payer moins qu´un pays modeste comme le maroc...
    il s´agit des priorités mises par les decideurs,c´est tout.
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    Message  ZAPBOX Jeu 21 Juin 2007 - 17:00

    les chercheurs sont parti du pays pendant la crise la nous somme oblgé de formé des nouveau la production scentifique été en baisse pour cett raison comme il la di ton article 40 000 cadre importan qu ils sont partie

    mais regarde la releve deriere ...
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    Message  yakuza Jeu 21 Juin 2007 - 17:09

    comme quoi la crise ca dure encore?c´est ca ce que tu veux dire?
    car le flux continue selon l´article...ouvre tes yeux zapobox,c´est le pognon qui n´est pas reglo!
    pourquoi rester la bas quand on peut etre mieux payé ailleurs...probleme d´inciataion,comme c´etait le cas des ingenieurs de sonatrach...mais ca c´est une autre histoire..j´ai pas de lecons a donner zapo,al3ati allah comme on dit.


    Dernière édition par le Jeu 21 Juin 2007 - 17:10, édité 1 fois
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    Message  scorpion-rouge35 Jeu 21 Juin 2007 - 17:10

    non ont boucoup de cerveaux ...mais malheuresement la plus part sont a l'étrangé .. Neutral .et la guerre des années 90 et la crise des années 80 et 90 sont pour boucoup Sad
    aujourd'hui je niveau de vie en algerie s'améliore et boucoup revienne mais les salaire non rien avoire avec ceux de l'étrangér
    yakuza lorsque ZAPBOX te parlé du nembre des éléve qui passe le bac et le nembre de réussite ...c qu'il voulé dire que le nembre de scolarisation en algerie est plus importent qu'au maroc...
    c bien ça ZAPBOX Algeria
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    Message  yakuza Jeu 21 Juin 2007 - 17:11

    5/5 Wink
    mais on peut voir en ca la qualité des examens bac marocains connus pour leur difficulté,sinon on pourrait pas faire d´autre interpretation pour les productions scientifiques de part et d´autre
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    Message  ZAPBOX Jeu 21 Juin 2007 - 17:18

    comment tu veu produir beaucou de scientifique quand ta meme pas 83 000 êrsonne qui entre a l'université chaque anné dans plein de filier diferente ?

    en algerie il y en a plein de monde des jeune qui reussis chaque ans (70 % en 2006 contre 30 % au maroc) alors on a largement de koi avoir plein de scientifique la crise du pays de 90 on fai que nous avon des gens qui son partie


    mais on peut voir en ca la qualité des examens bac marocains connus pour leur difficulté,sinon on pourrait pas faire d´autre interpretation pour les ouvrages scientifiques universitaires de part et d´autre

    pour la qualité du bac sa veu rien dire fau pas oublié qu'il y a 10 ans 60 % de la population du maroc été analphabete c pour ca que le taux du bacaloreat est si nul

    la tu veu nous prouvé par un echec du bac une reussite du programe scolaire marocain c'ets debile et basé sur rien du tou
    en algeri ta pas de ratrapage quand tu rate ton bac seul le meyeur qui gagne
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    Message  yakuza Jeu 21 Juin 2007 - 17:26

    notre systeme est hypertotalement depassé,ne me comprend pas mal,je suis moi meme pas d´accord avec le notre.peut etre que votre bac est meilleur je peux rien dire aucune idée...
    je veux juste que tu m´explique le constat de cette etude algerienne,c´est tout Wink
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    Message  ZAPBOX Jeu 21 Juin 2007 - 17:34

    c'ets pas une etude algerien c'ets un consta d'un journaliste sur le recherche scientifique c'ets pour dir que l'etat il ne fincance pas beaucoup la recherche

    en ajoutant que les efforts des chercheurs sont réduits à des initiatives personnelles plutôt qu’au développement de la recherche. Selon lui, les pouvoirs publics n’encouragent pas les universitaires à faire de la recherche

    la publication scientifisque veu pas dir que nous avon pas scientifique en algerie

    Selon M.Makki, le nombre de publications scientifiques a atteint seulement 260 en 2001

    comm jé dis c'est a cause de la crise que les gens son parti mais les gen revien et on a plein d'enfant du pays qui von devenir grand !!

    M.Robert Peck, a indiqué que la diaspora algérienne peut jouer un rôle important et contribuer davantage dans le développement de son pays


    Pour lui, il existe une très grande volonté chez cette diaspora, d’accompagner l’Algérie dans son développement, estimant que la communauté algérienne, notamment celle résidant au Canada, est une (véritable) passerelle entre les deux pays
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    Message  yakuza Jeu 21 Juin 2007 - 18:11

    ZAPBOX a écrit:
    ...
    mais les gens revien et on a plein d'enfant du pays qui von devenir grand !!
    ..
    j´aime cette phrase Very Happy
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    Message  valiant Ven 22 Juin 2007 - 18:30

    la production scentifique été en baisse

    tu te rend compte de ce que tu dis, c'est la première fois de ma vie que j'entend une personne dire qu'il y a une production scientifique en algerie clown

    si tu veux parler de la production scientifique de chakchoukha et batta-fritte je te dirais qu'on est les premiers du monde et qu'on est tellement avancés qu'on pourrai envoyer des secoupes entieres de batta sur la lune, on a même le record mondial du plus grand couscous, mais ça c'est pour melanger le beton armé, non c'est vrai c'est la première fois que j'entend dire qu'on a une production scientifique au bled

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